vendredi 5 août 2016

My dear August


Nous sommes déjà en août, huit mois ont passé depuis le 1er janvier 2016. 

J'enchaîne depuis le début de l'année des déceptions, des moments de doute, une impression de blocage. Je n'avance pas, seul le temps continue de passer, laissant derrière lui les tourmentes et les espoirs vains. 
Seuls les livres et l'art continue de me donner un but. 

J'ai terminé le premier carnet "un croquis et un texte par jour", et j'apprécie de le feuilleter de temps en temps, de voir ce que j'ai accomplis, même si mon travail n'est pas parfait et qu'il part un peu dans tous les sens. J'ai commencé le deuxième carnet il y a une semaine, et je trouve l'exercice un peu plus difficile, j'ai du mal à tenir le rythme, à m'obliger... 

Je fais une petit pause dans mes lectures.

A la place, je feuillette chaque jour le magazine Lire de cet été, qui contient une quinzaine d'extraits des romans de la rentrée littéraire. 


8 romans dans ma Pile A Lire

 Le monde de Charlie, de Stephen CHBOSKY.

Le monde de Charlie, Stephen CHBOSKY
Editions Le Livre de poche, 252 pages
"Au lycée, on trouve Charlie bizarre. Trop sensible, pas "raccord". Aux yeux de son professeur de Lettres, qui lui fait découvrir les classiques américains, c'est sans doute un prodige ; les autres le voient comme un "freak". Lui se contente de rester en marge des choses. Jusqu'au jour où deux étudiants, Patrick et la jolie Sam, le prennent sous leur aile. La musique, les filles, la fête : c'est tout un monde que Charlie découvre..."

J'ai adoré le film, et surtout le jeu d'acteur de celui qui incarne Charlie, tout comme celui qui incarne Patrick. Je préfère le titre original, The Perks of Being a Wallflower, d'ailleurs, je ne savais pas au départ ce que voulait dire "perks", je croyais que ça signifiait inconvénients, désagréments, alors que c'est tout le contraire! Mais peu importe.
J'ai très envie de lire le roman, surtout avec ce format à mi-chemin entre l'épistolaire et le journal intime. Je sens que c'est un livre qui va me faire du bien, du moins, je l'espères.

Zénitude et double espresso, de Nicole BORDELEAU.

Zénitude et double espresso, Nicole BORDELEAU
Editions Pocket, 180 pages
"Métro, boulot, courses, mails incessants et soucis quotidiens... Au coeur de ce tumulte, comment rester zen? Comment quitter le monde des fausses urgences et vivre davantage au présent?
Avec simplicité, authenticité et humour, Nicole Bordeleau nous fait partager sa propre quête d'équilibre et d'apaisement.
Grâce à des pistes de réflexion, à des exercices et à des méditations, elle nous donne accès à un nouvel art de vivre simple, riche et profond, qui s'adapte facilement à un monde sans cesse en mouvement. Une invitation à reprendre notre souffle, ici et maintenant, pour passer du chaos au calme, de la peur à la liberté intérieur."

Il y a quelque temps, j'avais envie d'un livre de développement personnel. C'était après avoir acheté et lu l'ouvrage de Baptiste Beaulieu, Alors voilà : les 1001 vies des Urgences, dont je trouve le travail particulièrement inspirant (son blog culte ici). 
Ce n'est pas en lisant la quatrième de couverture que j'ai eu envie d'acheter ce petit livre qui ne paie pas de mine. Tous les résumés des livres de développement personnel se ressemblent. C'est la couverture qui m'a attirée, parce que moi, hein, une tasse de café ou de thé, il ne m'en faut pas plus! Mais c'est surtout en feuilletant quelques pages, en lisant quelque passage, que j'ai aimé le ton de l'auteur. 

Elia, la Passeuse d'âmes, de Marie VAREILLE.

Elia, la Passeuse d'âmes, Marie VAREILLE
Editions PKJ (pocket jeunesse), 315 pages
"Les prophéties ne s'accomplissent que si quelqu'un à le courage de les réaliser. 
Elia est une Passeuse d'Âmes, un être sans émotions. Elle doit exécuter ceux qui sont devenus des poids pour la société : vieux, malades, opposants...
Mais un jour elle ne parvient plus à obéir aux ordres et s'enfuit dans la région la plus déshéritée du pays, là où les Passeur d'Âmes sont considérés comme les pires ennemis. Au plus profond d'immenses mines à ciel ouvert, Elia découvrira, telle une pépite, une destinée qui la dépasse."

Un personnage principal roux, un univers dystopique, une couverture magnifique... Quelque chose m'a profondément plu et envoûtée en lisant des extraits de ce roman, les premiers chapitres...


Les délices de Tokyo, de Durian SUKEGAWA.

Les délice de Tokyo, Durian SUKEGAWA
Editions Albin Michel, 239 pages
"Ecouter la voix des haricots : tel est le secret de Tokue, une vieille dame aux doigts mystérieusement déformés, pour réussir le an, la pâte de haricots rouges qui accompagne les dorayaki, des pâtisseries japonaises. Sentarô, qui a accepté d'embaucher Tokue dans son échoppe, voit sa clientèle doubler du jour au lendemain, conquise par ses talents de pâtissière. Mais la vieille dame cache un secret moins avouable et disparaît comme elle était apparue, laissant Sentarô interpréter à sa façon la leçon qu'elle lui a fait partager."

Encore une fois, une couverture absolument exquise, qui rend très bien l’atmosphère que j'imagine se dégager de ce roman. J'ai lu très peu de romans japonais, peut-être même un seul auteur, et je suis donc curieuse de découvrir la plume de Sukegawa et son histoire.


Sous la même étoiles, de Kelley YORK.

Sous la même étoile, Kelley YORK
Editions PKJ, 300 pages
"Une fois le lycée terminé, Hunter et sa demi-soeur Ashlin décident de prendre une année sabbatique et d'emménager chez leur père. Là-bas, ils retrouvent Chance, un garçon fantasque avec qui ils passent tous leurs étés depuis l'enfance. Si le jeune homme les a toujours fascinés, Ashlin et Hunter éprouvent bientôt pour lui de tout autres sentiments. Mais ils comprennent aussi que les excentricités de Chance dissimulent une vérité bien plus noire..."

C'est une booktubeuse dans une de ses vidéos Book Haul qui m'a fait connaître ce roman, et ma foi, j'avais bien envie de le lire. J'espère retrouver le même genre d'histoire de pour "Fans de la vie impossible", un roman qui m'a tant charmée... Je croise les doigts!


Désolation, de Stephen KING.

Désolation, Stephen KING
"La route 50 coupe droit à travers le désert du Nevada, sous un soleil écrasant. On n’y entend que le jappement lointain des coyotes. C’est là qu’un flic étrange, un colosse aux méthodes très particulières, arrête des voyageurs sous des prétextes vagues, puis les contraint de le suivre à la ville voisine: Désolation.Et le cauchemar commence…Après plus de vingt romans, best-sellers planétaires, Stephen King démontre avec éclat qu’il n’a rien perdu de sa puissance d’invention. Ce thriller éprouvant, au goût d’apocalypse, nous entraîne plus loin que jamais dans la lutte éternelle du Bien et du Mal."

Prince Captif, T.3, Le Roi, de C.S.PACAT.

Prince captif, C.S. PACAT
Editions Milady, 416 pages
On suit l'histoire de Damianos, prince d'un royaume en guerre, qui est trahi par son demi-frère. Le jour de la mort de leur père, le roi, Kastor fait capturer son frère, lui volant ainsi le trône, et il fait envoyer Damianos à Vère en tant qu'esclave de plaisir pour le prince Laurent, l'ennemi. "Damen" est ainsi jeté dans la fosse aux lions, dans un pays où seule la mort l'attend si sa véritable identité est découverte. Mais un lien va finalement se former entre ces deux hommes aux passés torturés, un lien basé malheureusement sur le mensonge. 

Il s'agit du troisième tome d'une trilogie de fantasy. J'ai dévoré les deux premiers tomes, et même si ce dernier tome n'est disponible qu'en grand format, je l'ai acheté, incapable d'attendre. ça va dépareiller dans ma bibliothèque, mais ce n'est pas grave. 

Harry Potter and The Cursed Child
de J.K.ROWLING, John TIFFANY et Jack THORNE.

Harry Potter and The Cursed Child, J.K.ROWLING, John TIFFANY, Jack THORNE
Little Brown and Company Books, 330 pages
Il s'agit du script d'une pièce de théâtre. Basée sur l'épilogue du septième tome, l'histoire se passe 19 ans après la victoire de Harry et elle est centrée sur Albus Severus, il me semble. Que d'attentes pour cette lecture, appréhension et impatience, doute et excitation... 
Que réserve cette pièce de théâtre à ces personnages qui me sont si cher? Vais-je retrouver la même atmosphère, la même intensité, la même plume de l'auteur, alors que le format est si différent de la saga?

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